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Le but d'un jeu de stratégie est de réaliser un objectif connu : augmenter sa domination périmétrique, combattre un ou plusieurs ennemis sur un terrain de jeu, faire prospérer une entité… L'accent n'est pas mis sur l'adresse du joueur mais sur la planification de l'action (tactique ou stratégique).
Dans les faits, lorsqu'on parle aujourd'hui de jeu de stratégie, on parle essentiellement soit de jeux de guerre ou de jeux de simulation.
Les jeux de stratégies à ce jour sélectionnés sont:
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Age of Empire,
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Monopoly,
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Richesses du Monde,
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Risk.
L'action du jeu se déroule dans un contexte historique, sur une période comprise entre 5000 av. J.-C. et 800 ap. J.-C. au cours de laquelle le ou les joueurs doivent faire évoluer une civilisation antique de l’âge de la pierre à l’âge du fer pour débloquer de nouvelles technologies et unités leur permettant de bâtir un empire.
Le but du jeu est d'éliminer les autres joueurs pour rester l empire conquérant.
Le temps d'une partie est conséquent, mais passionnant est le jeu.
Ce jeu requiert et développe stratégie, tactique, réflexion et de réelles capacités de décision et de gestion.
L'expérience compte beaucoup pour progresser dans la pratique du jeu, et comprendr comment gagner la partie en la jouant avec des joueurs aux objectifs identiques.
La jouabilité est excellente, et les déclinaisons du jeu quasi illimitées.
Monopoly c'est le jeu de stratégie le plus connu au monde, un des premier d'ailleurs, 1935 si je ne m'abuse.
La photo ci-contre présente la fameuse boite de jeu, pas de dessins, pas de fioriture, simplement le titre car il est devenu un nom commun, du domaine public!
Le Monopoly est un jeu de société américain à la base, bien que celui présenté ici soit la version française, et notamment parisienne. Le but du jeu consiste à ruiner ses concurrents par des opérations immobilières. Il symbolise les aspects apparents et spectaculaires du capitalisme, les fortunes se faisant et se défaisant au fil des coups de dés. Ce jeu de société est mondialement connu, et il en existe de multiples versions.
Nous disposons également de la version toulousaine et celle de Marvel avec Spiderman. Rendant le Monopoly accessible et ludique pour les plus jeunes.
Des parties passionnantes, certes assez longues, et innombrables nous ont réunis en famille ou entre amis pour conquérir les rues de Paris et faire payer nos visitants les autres joueurs. Les principes du jeu restent toujours les mêmes. Acheter pour faire payer ensuite.
Ce jeu requiert et développe stratégie, tactique, réflexion et de réelles capacités de décision et de gestion.
L'expérience compte beaucoup pour progresser dans la pratique du jeu, et comprendr comment gagner la partie en la jouant avec des joueurs aux objectifs identiques.
La jouabilité est excellente, et les déclinaisons du jeu quasi illimitées.
Les Richesses du Monde... allé, carémment.
Au top de la Mégalomanie, ce jeu est réellement croustillant.
D'une part il est extrêmement instructif quant aux capacités minières, agricoles et de production mondiales à travers la planète, d'autre part c'est un vrai jeu de stratégie, qui il faut bien l'admettre reprend un peu le principe de capitalisation à la Monopoly.
Mais on s'amuse, on s'intéresse, on amasse, on devient spécialiste du Tungstène, de l'Or, du Café ou du Caoutchouc....
C'est très sympa, les parties sont longues en durée, prévoyez l'après midi ou la soirée, mais c'est le moment de sortir votre petite quetsche de derrière les fagots (à consommer avec modération) pour la déguster tout en developpant vos trusts.
On entend déjà la musique générique d'Amicalement vôtre et on s'imagine Dany Wilde en train de compter ses liasses de billet avec en fond les puits de pétrole.
Jouabilité intense, de deux à six joueurs, mais c'es plus amusant à partir de trois. Certes la version présentée est désuette, les euros n'existent pas, les équilibres des marchés ont bien changés, mais cela sent bon les 30 glorieuses, et c'est en partie cela qui fait plaisir.
Le graal du jeu de crevard... ce n'est pas moi qui le dit, mais tous ceux qui se sont fais écrasés, rattatinés, pillés à Risk.
Il partage de nombreuses caractéristiques avec le wargame, jeu de guerre, mais en plus simple et abstrait.
Les cartes de référence sont le canon (l'artillerie), le cavalier (la cavalerie) et le soldat (les fantassins).
Ce n’est pas vraiment de la stratégie militaire, mais il permet de mesurer l’étendue du monde, le coût de la logistique d’une campagne militaire et combien la chance bonne ou mauvaise aux moments cruciaux peut orienter l’évolution donc le résultat.
D'où l'expression un peu brute de fonderie indiquée plus haut.
C'est un jeu de 2 à 6 joueurs, très intéressant, captivant, qui développe et requière de nombreuses qualités.
Les joueurs ne connaissent pas la mission de leur adversaire, mais doivent tenter de la deviner en fonction de la stratégie de jeu de ceux-ci. Ainsi, en fonction de leur mission, ou non s'ils veulent bluffer, les joueurs placent leurs fantassins sur les pays conquis, sans limite d'effectif, avec un minimum de 1 fantassin par pays.
Le jeu consiste à allouer des armées dans les territoires contrôlés puis attaquer les zones voisines pour les conquérir. C’était le premier jeu populaire où le mouvement n’était pas déterminé par un jet de dé. Un participant est éliminé s’il ne lui reste plus de territoires.